-
-
L'attitude belliqueuse du ministre de l'Intérieur gêne les bataillons de CRS et de gardiens de la paix de l'Unsa-Police, qui a demandé hier à Nicolas Sarkozy de modérer ses propos : «C'est trop facile d'aller exciter les jeunes et après d'aller se coucher», a critiqué Francis Masanet, secrétaire général adjoint du syndicat de policiers. «Nous, nous sommes confrontés vingt-quatre heures sur vingt-quatre à cette situation. On ne peut pas dire aujourd'hui qu'on va nettoyer les cités au Kärcher. Ce n'est pas comme ça qu'on engage le dialogue.»
libération.fr
2 commentaires -
-